Tout vibre ici, dans ce monde antique

Poème sur ma passion de l'époque romaine

Dans les rues de Rome, où l’histoire s’entrelace, Je trouve ma passion, un feu qui jamais ne s’efface. Les colonnes majestueuses, les arcs triomphaux, Chuchotent des récits anciens, des destins glorieux.

Les mosaïques, tels des joyaux colorés, Dansent sous le soleil, leurs secrets préservés. Les dieux et les déesses, figés dans la pierre, Observent mes pas, gardiens silencieux de la sphère.

Les jeux du cirque, arènes de passions brûlantes, Où les chars tournoient, les foules enivrantes. Le rugissement des lions, les combats acharnés, Tout vibre ici, dans ce monde antique animé.

Ovide, poète épris d’amour et d’élégance, Chante les émotions, la sensualité en cadence. Ses vers, comme des baisers volés au vent, Révèlent les désirs cachés, les feux ardents.

Et Plautus, l’acteur des mots, jongle avec les comédies, Ses rires résonnent encore dans les ruelles assoupies. Les amours contrariées, les intrigues tissées, S’animent dans ses pièces, échos d’une époque passée.

Alors je me perds dans ces vestiges, ces fragments, Ma passion pour Rome, éternelle et vibrante. Sous le ciel azur, je deviens un poème vivant, Dans l’écho des siècles, je danse, je respire, je ressens.